Bonjour Denise, merci d’avoir accepté et pris le temps de répondre à ces questions, et de partager votre vécu de cette maladie…
Je trouvais cela normal de témoigner, on parle de plus en plus de ce cancer et les recherches évoluent, ça a du bon. Il faut en parler, c’est une épreuve difficile et il est important de pouvoir partager cette expérience. On en parle beaucoup mais lorsqu’on apprend qu’on l’a, on se sent très seule, vraiment très seule. De plus je n’en avais jamais eu l’occasion auparavant, j’ai traversé cela avec ma famille mais on n’en parle peu car on a dépassé cela, mais en parler c’est aussi montrer qu’il y a un après cancer. Le passé est le passé, mais les cicatrices sont là, elles restent…
De plus c’est le mois idéal pour en parler: l’Octobre Rose ! Alors le Cancer du Sein: parlons-en !
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Comment avez-vous appris que vous étiez atteinte d’un cancer du sein ?
Mon calvaire a commencé en décembre, plus précisément le 25 décembre 1994 au soir. J’avais mal à mon sein droit, mais je n’y prêtais pas trop d’importance, car avant les menstruations une femme a toujours les seins qui font plus ou moins mal. A cette époque j’avais 35 ans et 1 mois, j’étais très jeune. Mais le 26 au matin mon sein avait triplé de volume et était très douloureux, insupportable même, comme une sensation d’être en feu, donc mon mari m’a emmenée en urgence à l’hôpital pour voir mon gynécologue.
A peine arrivés pour la visite, le médecin a constaté que c’était grave, il parlait peu mais son silence et son regard voulaient dire beaucoup, il m’a tout de suite fait passer une mammographie. Un tel examen sur un sein gonflé et douloureux était un calvaire, puis est venu le résultat: j’avais une grosseur de la taille d’un petit pois. Le médecin m’a alors annoncé qu’il fallait me faire une ponction dans la grosseur pour en retirer un peu de liquide pour découvrir si c’était malin et donc cancéreux ou non…
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L’annonce de la maladie…
Au bout d’une heure la réponse est arrivée. J’étais assise à côté de mon mari et en face du médecin, il me regarde puis les radios, et enfin, je ne sais pas si je dois dire enfin mais c’était la fin de l’attente, et ….. je n’avais pas peur à ce moment là, car j’avais trop mal et puis je ne pensais pas que je pouvais avoir un cancer du sein, pas moi… Le médecin m’annonce que la grosseur était maligne et que je devais me faire opérer. Là il a commencé à me parler de tout ce qui allait avec cette opération: les risques d’une ablation totale ou partielle, entre autres. Je comprenais tout ce qu’il me disait, mais cela semblait si irréel…
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Comment avez-vous alors réagi ?
Le temps était très court et très long en même temps, j’étais comme dans une bulle irréelle, et puis j’ai compris l’importance du mal qui me rongeait. Très vite aussi j’ai pris conscience de la gravité et j’ai pensé à mon mari, à mes enfants, et à ma mère qui était mourante, car quelques semaines auparavant on lui avait détecté la maladie de Charcot, et on lui donnait au plus neuf mois à vivre… Je soignais cette mère malade, et en cet instant tout défilait dans ma tête, des questions comme « Qui allait s’occuper d’elle ? De mes enfants ? De mon mari ?». Je pensais à ces choses qui faisaient mon quotidien et dont je m’occupais tous les jours, ces éléments qui étaient ma raison de vivre. Et là, c’était comme un tremblement de terre, une faille qui s’ouvrait sous moi et qui dévastait toute ma vie bien rangée et déjà secouée par la maladie de ma mère… Puis le trou noir, j’ai fondu en larmes. Mon mari et moi nous avons beaucoup pleuré dans le bureau de ce médecin. Puis nous avons parlé, très longtemps apparemment mais je ne saurais dire combien exactement. Nous avons été pris en charge par ce médecin qui a pris de son temps pour nous expliquer la maladie, ses effets, puis l’opération, les risques, les possibilités etc…
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C’était le début du traitement contre la maladie, c’est ça ?
Oui. Mon traitement a commencé dans ce bureau, avec ce médecin. J’ai reçu des anti-inflammatoires et d’autres médicaments en vue d’une opération pour enlever cette grosseur. C’était comme un chemin qui m’emmenait sans que je m’en rende compte, j’étais emportée par la ronde des examens de préparation de l’opération, les prises de sang, les radios des poumons, l’anesthésiste… J’étais encore dans cette spirale dans laquelle je n’avais aucun contrôle sur mes faits et gestes et où ma seule possibilité était l’attente.
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Puis un retour à la maison avant l’opération ?
Je suis rentrée à la maison pour quelques temps avant mon opération. Le retour à ce qui était ma vie était difficile. La réalité m’effrayait. Je voyais ma mère alitée, très gravement malade, puis mes enfants de 15 et 8 ans qui avaient besoin de moi. J’ai alors inconsciemment donné l’image d’une femme forte car pour eux je devais l’être. Ils ne devaient pas connaître la gravité de mon état, je gardais la tête haute, je souriais devant ma mère. D’ailleurs ça venait naturellement, c’était même incontrôlé, je me rappelais qu’elle me disait toujours « garde le sourire quoiqu’il arrive ». Mais combien de fois j’ai craqué lorsque j’étais seule ou avec mon mari…
C’était aussi le moment de s’organiser: « Qui allait s’occuper des enfants ? » et « Qui allait s’occuper de ma mère ? », là mon frère a pris la relève durant mon hospitalisation, et mon mari a changé de poste, il n’était que du matin pour pouvoir s’occuper des enfants le soir. Et une amie était là pour le mercredi. Je remercie encore ces personnes pour m’avoir aidée, car la maladie a chamboulé notre vie.
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Comment vos enfants ont réagi face à l’opération et la maladie ?
Il fallait dire aux enfants que j’allais me faire opérer, mais tout en rassurant que je reviendrais très vite à la maison. Mais là je parlais de choses encore inconnues car je ne savais rien du futur, ni si l’opération allait bien se passer, ni même si je guérirais du cancer. Car l’opération n’était que la première étape qui si elle se passait bien, amènerait encore beaucoup d’autres étapes. Mais nous n’en étions pas encore là. Malgré cela il fallait quand même rassurer les enfants alros que moi-même je ne l’étais pas: rassurée. J’ai alors pris les devants, j’ai écris trois lettres, une pour chaque enfant, et une pour mon mari, au cas où…
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Puis vient l’opération, première étape d’une guerre contre un élément défaillant du corps …
J’ai été opérée le 13 janvier 1995 a 8h. Elle a duré 3h30, je suis rentrée dans ma chambre le soir même. Lorsque j’ai ouvert les yeux mon mari était à mes côtés, donc j’étais vivante, mais je ne pouvais rien dire, j’étais trop émue d’être là, et avec lui, et parmi eux. J’étais encore assommée par l’anesthésie mais quand je me suis vraiment réveillée, la première chose que j’ai faite c’était de mettre la main sur mon sein, mais la couche de pansement m’empêchait de sentir quoique ce soit.
Le chirurgien est venu m’informer de l’opération, tout s’était bien passé, il avait pratiqué une ablation partielle du sein puis d’une zone de sécurité, et une ablation de la chaine ganglionnaire du bras droit ainsi qu’une intervention en vue d’une possible reconstruction mammaire. Je me suis alors dit que ça allait, je l’entends encore m’annoncer tout cela. Et durant tout son discours je passais d’une émotion à une autre: entre peur et espoir, c’était très fort…
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10 jours pour attendre la réponse: cancer ou pas cancer ?
Il fallait attendre 10 jours interminables pour savoir si cette grosseur était ou non cancéreuse, et si elle était à quel degré ?
Pour attendre, je voyais mon mari, mes enfants. Ils allaient bien et j’étais entourée de ceux que j’aimais. Le dixième jour le médecin est passé me voir, tard. Il était 20h30. Il est entré dans la chambre et m’a annoncé sans prendre de chemin que j’étais atteinte d’un cancer du sein, que j’avais une tumeur de 2,5 cm de diamètre. Un cancer stade 3, qui nécessitait des séances de chimiothérapie et de radiothérapie. Je lui ai alors seulement répondu que j’allais m’en sortir. Il avait alors répondu qu’il n’y avait pas de raison que j’étais trop jeune pour avoir un cancer, et qu’il fallait faire rapidement barrage à cette maladie.
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Qu’avez-vous ressenti à cette annonce ?
En fait je voyais mes enfants et mon mari, toute ma force pour lutter je l’ai puisée en pensant à eux. Je pensais aussi à ma mère dont il fallait que je m’occupe avant qu’elle ne parte. On nous avait annoncé qu’elle était atteinte de la maladie rare et incurable de Charcot en octobre 1994, puis qu’elle allait rester auprès de nous au grand maximum 9 mois. Je pense encore aujourd’hui que j’ai contracté ce Cancer suite à un choc émotionnel: celui de l’annonce de la maladie et de la future disparition de ma mère.
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Que s’est-il passé après cette opération ?
Je reprenais doucement des forces entourée de ma famille, mais dès que j’étais seule je me posais des milliers de questions. Je me demandais pourquoi cela m’arrivait, comment cela a pu se produire. Mais surtout je me demandais comment mon mari me regardait, car j’avais un sein atrophié, je me demandais comment je pouvais le cacher et si mon mari voudrait encore de moi… Puis je me rappelais que je ne pouvais encore rien prévoir, car je ne savais pas si je m’en sortirais, je n’avais même pas encore commencé les traitements. J’étais effrayée quand j’étais seule. Et si je disparaissais, que feraient mes enfants, mon mari et ma mère ?
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Votre réaction en voyant ce sein opéré ?
Et en fait les journées passaient et est venu le moment de changer pour la première fois mon pansement, j’allais voir ce sein mutilé… L’infirmière avait été très compréhensive et me rassurait en me disant qu’il allait être de toutes les couleurs et gonflé, que c’était normal etc. C’était un vrai choc pour moi, le voir comme ça, voir ce qu’il en restait, c’était horrible. Je ne pouvais pas parler, j’étais vraiment choquée. Je me suis alors dit que si j’allais vivre j’allais le faire avec « ça ». Puis j’ai eu une grande discussion avec l’infirmière qui m’a aidée à me dire que l’important était d’être là, et c’est ce qui importait. Puis le trou noir, je suis tombée dans les pommes, trop d’émotions, trop de questions…
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Puis le retour à la maison ?
On m’a laissée rentrer à la maison et cela a contribué à ma guérison. Mais il fallait tout prévoir car je ne pouvais vraiment rien faire. Mon mari a pris les choses en main et a tout géré:son travail, les enfants, les courses, le ménage. Mon mari a été formidable. Et ma convalescence se passait bien et ma mère est revenue à la maison. Son état empirait, elle était toujours alitée, ne se nourrissait plus seule, il fallait la changer, la laver, lui mettre des couches. Mon mari a participé à tout cela, je l’en remercie tellement.
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Les premières thérapies …
Les premières séances de radiothérapie sont arrivées. Je devais parcourir 100 kilomètres tous les jours à l’aller comme au retour pour mes séances de radiothérapie, et une fois par mois pour les séances de chimiothérapie, pendant six mois.
Les premières fois lorsque j’ai vu ces gens à l’hôpital qui étaient déjà en traitement j’ai eu peur, ils avaient tous le teint si pâle, plus de cheveux, ces envies de vomir, et le fait de se sentir aussi mal, cela m’a fait beaucoup réfléchir. Mais au lieu de flancher je me suis dit que ce n’était rien à côté de la vie, et que s’il fallait passer par là pour retrouver une vie normale je le ferais, je tiendrais… Je devais me battre pour ma famille, pour les miens, et surtout pour moi, c’était ma devise depuis le début du traitement.
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La première radiothérapie et surtout la salle d’attente …
Le premier rendez-vous au Centre de cancérologie est arrivé. Il était question du cadrage pour la radiothérapie. C’était horrible. Je me posais beaucoup de questions sur ce qu’ils allaient faire, est-ce que c’était douloureux, comment cela allait se passer… En entrant il y avait ces gestes habituels: l’accueil, expliquer pourquoi on est ici, ce qu’on a eu, donner son nom, puis attendre. Rejoindre la salle d’attente. La première fois j’étais très impressionnée de voir qu’il y avait autant de monde mais je n’osais regarder personne, j’avais trop peur d’ouvrir les yeux sur une réalité qui ne me plaisait pas: la difficulté du traitement. Il y avait ces gens qui n’avaient plus de cheveux et se mettaient un bandana, d’autres en fauteuil roulant, tous avec ce même regard vide. Et j’avais peur car je débarquais pour ma première radiothérapie et j’avais encore mes cheveux et le teint rosé, et tout le courage possible mêlé à l’espoir, et je les voyais tous fatigués de se battre. Parfois on ne ressent même plus le courage dans les yeux des autres, et je n’arrivais pas à les regarder. Tout ce que je pensais s’était envolé en les voyant et il ne restait plus que la peur et d’autres doutes. Les cabines s’ouvraient et on appelait des gens qui entraient, et ressortaient ensuite. Mais je ne comprenais pas où ils allaient et ce qu’on faisait dans ces cabines. Puis c’est mon tour, je faisais comme les autres, je suivais l’infirmière, j’entrais dans cet endroit. Et là je découvrais les grandes machines, j’étais perdue et désorientée. L’infirmière avait alors senti ma panique et essayait de me rassurer avec des mots gentils. Le pire pour moi était de me déshabiller et de montrer ce sein meurtri et atrophié. Encore des mots rassurants et c’était parti pour des explications d’un autre médecin, marquages, mesures, dessins sur ma poitrine et quelques points de tatouage (que j’ai toujours), et c’était lancé… Installée sur une grande table vec une énorme machine au dessus de moi, comme une radio, il ne fallait plus bouger pour ne pas brûler les zones autour de celle traitée, puis des ordonnances de Biafine pour mettre sur la peau, et rentrer à la maison et faire comme si de rien n’était auprès des enfants et recommencer cela tous les jours pendant six mois: l’ambulance, les 100kms de trajet, le secrétariat, la salle d’attente, la séance, le trajet, etc…
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La pose du port-a-cath et la chimiothérapie
Au bout du premier mois de traitement il fallait me poser un port à quatre pour faire passer la chimiothérapie. J’ai alors vécu une opération sous anesthésie locale (dont je garde un très mauvais souvenir, mais je n’étaierais pas cela ici). S’en suivait des prises de sang, des aller-retours à l’hôpital avec la première fois une grande appréhension aussi, des questions sur la procédure et surtout sur les effets que j’allais ressentir: perte de cheveux ? Perte de poids ? Pâleur ? Douleurs ? Vomissements ? J’avais peur, très peur… Surtout de ne pas être là pour ma famille, cette angoisse là me collait à la peau…
La première chimiothérapie était intense en émotions. Quand je suis arrivée dans la pièce il y avait une quinzaine de lits avec d’autres occupants, on m’a demandé de me mouiller les cheveux, puis de mettre une sorte de casque en plastique congelé sur la tête. J’ai voulu fuir, courir vers la sortie et partir, mais je n’ai pas réussi à bouger. Je me rappelle surtout de l’odeur que l’on trouvait partout, même dans l’urine… L’infirmière m’a alors parlé et rassurée, elle m’a tout expliqué, et moi je regardais les autres malades. Certaines m’ont souri, et là je me suis effondrée en larmes, j’ai craqué. L’équipe médicale et les autres malades ont été d’un grand soutien, des encouragements, de la patience. J’ai appris la patience durant ces séances, car attendre deux heures et sentir les effets de la chimiothérapie.
Les séances se déroulaient toujours de la même manière, la prise de sang, puis la chimio. A ma 4ème séance la prise de sang n’était pas bonne et je n’ai pas pu avoir ma séance de chimiothérapie, mes plaquettes étaient trop basses. Pour la dernière séance c’était pareil, mes prises de sang n’étaient pas bonnes et il fallait du repos. J’étais très fatiguée et stressée, épuisée par tout cela, mais le meilleur moment reste quand il vous dit qu’au vu de mes résultats le traitement fonctionne.
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Quels ont été les effets de la chimiothérapie sur vous ?
Pour ma part je n’ai jamais vomi durant les séances, ni même après. Je n’ai pas non plus perdu mes cheveux, c’était à cela que servait le casque humide et froid apparemment. Par contre j’ai pris 18 kilos alors que pendant 6 mois je me nourrissais exclusivement de pain grillé, de coca cola battu (pour éviter les bulles), d’eau, de fromage blanc et de quelques pâtes. Je n’avais pas faim…
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Dans votre famille y avait il eu d’autres cas de cancer ?
Oui, dans la famille , nous avons eu d’autres cas de cancer, la maladie de Charcot, c’est une forme de cancer mais apparemment ce n’est pas héréditaire. Et récemment la mère de mon mari a eu un cancer du pancréas, auquel elle n’a pas survécu, elle s’est éteinte il y a un mois de cela…
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Et après ? Comment a été ce retour à la réalité ? L’après cancer ?
La progression de la maladie de ma mère était fulgurant, rapide et très difficile à gérer, je n’avais pas le droit de la lâcher. Elle qui avait toujours été là pour moi avait aujourd’hui besoin de moi, et je me devais d’être debout pour elle. Indirectement elle m’a aidé à tenir le coup. Le 8 juillet 1995 ma mère nous a quittés. Je venais de finir mon traitement et elle est partie. C’était encore une épreuve et un choc pour moi, mais aussi pour toute ma petite famille. On dit que le temps passe et qu’il efface les plaies, même les miennes. C’est sûr que de mon sein il n’en restait qu’un bout difforme et j’avais toujours les mêmes questions, mais je me battais.
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La rémission…
L’annonce de la rémission était un grand moment, mais avec en fond des doutes et des questions car rémission ne veut pas dire guérison. Il était possible que je doive tout recommencer, tout revivre, tout resupporter, ou pas. Les visites chez le cancérologue et les examens continuaient, tous les six mois j’y retournais et je subissais à nouveau ces doutes, ces peurs, ces pleurs, ces angoisses d’un annonce d’un retour de la maladie. Mais l’innocence et la joie de mes enfants me faisaient garder la tête sur les épaules et ces petits riens de tous les jours étaient importants.
Ces lettres que j’avais écrites peu avant mon opération du sein, je les ai brûlées cinq ans après cette date, jour pour jour le 13 janvier 2000.
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Un mot pour celles qui -actuellement- se battent ?
Oh oui ! Je vous souhaite bon courage ! Gardez la tête haute et sachez qu’on peut en guérir, je suis bien là moi, 15 ans après, je suis toujours suivie, meurtrie, mais guérie et entourée. Il faut tenir bon même dans ces moments de grande solitude… Il faut garder cet espoir, car c’est la flamme.
Je souhaite aussi remercier ces équipes médicales qui dans ces épreuves très difficiles sont là et font du mieux qu’elles peuvent pour vous soulager, vous soigner, vous écouter et vous rassurer, et faire bien plus encore. Ces gens font partie de l’épreuve et heureusement qu’ils sont là, sinon les malades ne le seraient plus: là.
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Avez vous appris quelque chose et pendant et suite à cette maladie ?
Ce que j’ai appris pendant ma maladie? En traversant toutes ces phases: de douleur, de peur et de crainte, entre les bonnes nouvelles et surtout l’espoir… Il faut toujours se dire « Je vais y arriver ». Ce n’était vraiment pas facile tous les jours de se le dire, mais le moral, l’envie, l’espoir, sont des atouts incontournables pour aller vers la guérison.
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Que pensez vous quand vous allez faire vos check-up, et tests réguliers d’après cancer, lorsque vous voyez ces femmes malades ?
Je me revois systématiquement quelques années en arrière, dans la même crainte, avec cette même peur, ces mêmes attentes, ce même espoir.
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Votre couple a-t-il survécu à cette maladie ? Si oui comment, si non comment ?
Mon couple a très bien survécu à tout cela, mais je ne vous cache pas que ce n’était pas toujours facile. Le problème venait de moi et non de mon mari, j’avais honte de ce corps massacré et mutilé. Ensuite est venu le moment de la pose de ma prothèse partielle du sein, il y a eu les douleurs et autres, mais je l’ai bien vécu, et c’était dans ma tête que tout se passait. Et là encore mon mari était très bien, il me disait parfois quand je l’embêtais avec mes remarques: « J’ai dit oui pour le meilleur et pour le pire ».
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Qu’est ce qui a été le pire pour vous dans ce Cancer ?
Le pire c’est que cette maladie vous tue à petit feu et qu‘il n’y a rien en face de vous contre quoi vous battre. On ne voit pas la maladie, on la ressent. Il faut être dur et assumer un travail mental. Moi j’avais une famille, et je ne pouvais pas la laisser…
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Qu’est ce qui vous a fait tenir ?
D’abord l’amour de mes proches, puis mon orgueil car je ne pouvais pas me laisser vaincre par ce quelque chose qui me faisait du mal, cette chose sournoise que je ne voyais pas. J’ai déclaré la guerre par peur de mourir.
Ce qui était surnaturel c’était tous ces gens dans cette grande salle en pleine séance de chimiothérapie, tous allongés, branchés, casqués, dans ces lits côte à côte, qui dormaient, lisaient ou pleuraient…
J’ai eu beaucoup de chance – on a découvert mon cancer à un stade peu avancé. Je ne veux pas dire que je n’éprouve aucune reconnaissance envers ceux et celles qui m’ont fourni une expertise médicale de haut niveau. De plus en plus de femmes dans ma situation vont malheureusement en avoir besoin. Mais je demeure insatisfaite, parce qu’en réalité nous manquons de services proprement adaptés aux besoins des femmes.
Bonjour j ai vu votre commentaire sur feel planett vous dite que votre cancer est débutant pouvez-vous me dire si vous avez eu de la chimio ou des rayons ???? Merci de votre réponse
C’est le début peut-être du cancer je serai seul je me laisserai partir l’angoisse est trop forte pour moi. Je ne sais pas si j’aurai votre force
Bonsoir il ne faut pas lâcher je vous soutien de tout mon coeur
Merci madame pour tout ça. Je viens d’apprendre que ma mère a un cancer du sein droit, elle a 70ans et j’ai très peur pour elle.
Bonjour, je suis moi-même atteinte d’un cancer depuis quelques mois les soins ont commencé le 16 août 2016 je dois rentrer à l’hôpital tumeur au grade 2 je vis seule. Comment m’en sortir ? Pas de soutient, personne dans un village à qui me confier. Je vous remercie de votre réponse.
Bonjour à toutes
moi j’ai eu ma 1ère séance de chimio le 11 / 08 / 2016 ma tumeur est au stade 1 mais j’ai quand même 8 séances de chimio à faire avant la chirurgie
Si vous le voulez on peut s’aider car moi aussi, il faut que je me décide car j’ai une boule, et je fais l’autruche mais l’angoisse j’en peux plus. Annie
Bonsoir jespere que ce netait pas grave cette boule je vous le souhaite
Je vis la meme chose tres dur detre seule je veux me battre pour mes enfants courage
Courage ma belle tu vas y arriver moi je suis avec la radiothérapie je me bat pour mon mari et mes filles
Bonjour;
Je me fait opéré le 16 octobre d’un nodule au sein gauche stade 1 j’ai très très peur. J’ai lu que vs êtes au stade de la radiothérapie pouvez vous me dire comment sa va pour vous? Avez vs été opéré. Merci
Comment allez vous depuis? Moi je serai operer ce mois de mai jangoisse enormement pas de famille je pense a mes enfants jespere que vous allez bien
grade 2 ne vous inquiétez pas trop….. je suis aussi au grade 2……..je vis seule, aussi ….. bien sur j’ai un enfant..;;; mais, ,elle travaille ….. il n’y a pas de problème, on va vous retirer votre tumeur au sein, et peut être un ganglion . mais ce n’est pas sur………. après vous aurez le traitement adéquat…..pas toujours drôle, au niveau de la chimio, mais pour la radiothérapie, aucun problème
Bonsoir, j’écris pour la 1ere fois et j’ai comme vous un cancer sein de grade 2. Et je me sens dépassé par cette nouvelle.
Je vous souhaite beaucoup de. Courage et tenez le coup.
j’ai à 74 ans, moi aussi, un cancer du sein….. ma fille, est comme vous, anxieuse ….avant de paniquer, à quel grade est votre mère ( je suis au grade 2 ) un grade, à notre age, tout à fait correct…….. et pas forcément à récidive ou à métastase…….. donc pas de panique…….. c’est ce que je n’arrête pas de dire à ma fille !!!!!
Bonjour, j’ai 30 ans j’ai eu un écoulement de sang dans mon sein droit. En avril 2016 On m’a fait des échographies des mammographie galactographie IRM… depuis 1 semaine j’ai le même sein qui a enflé et j’ai une douleur qui arrive jusqu’à sous mon bras. Je suis allée chez mon généraliste elle a senti une boule de 1cm environ je dois faire une échographie mammaire mardi 19/07. Voilà j’espère avoir de bons résultats. Votre histoire m’a donné beaucoup de courage. Merci à vous.
Bonjour, qu’elles sont les nouvelles ?
Bonjour,
Moi aussi, il y a eu 1 an le 07, on m’a annoncé cette mauvaise blague au sein gauche…..! Depuis, chimio puis mastectomie puis rayons et maintenant hormonothérapie ! On y arrive…… Mais il faut s’accrocher c’est sûr. C’est la 1ère fois que je me décide à écrire sur 1 forum lorsque je lis le message de Ballan, qui précise ne pas avoir de soutien et ça me touche. Alors Ballan sache que je peux être là si tu le souhaites…..?! Pensées positives et accepter d’être fatiguée…..et par exemple pour mon cas, magnétiseuse, psychothérapeute et ce que j’aurais dû faire pendant le traitement, phytothérapeute m’ont et m’aident énormément….. Bon courage à Ballan et toutes….
Moi aussi Ballan si tu veux je suis là aussi on peut se soutenir l’une et l’autre bon courage
BONJOUR
J’ai 38 ans, j’ai 3 enfants 6 ans, 11 ans et 14 ans. Il y a 7 mois on m’a appris que j’avais un cancer du sein gauche. J’ai fait 6 séances de chimio et le 3 novembre 2016 j’ai eu ablation du sein. Tout c’est très bien passer. Il faut dire que j’ai un homme qui fait tout pour moi des enfants qui m’aident beaucoup un papa qui est là s’il y a besoin. Et j’ai des super amies qui ont été là pour moi pour être avec moi à la chimio après leur journée de 8h de boulot elles se tapaient 30 à 45 min de route pour ne pas que je soit seule. Et bien sûr elles sont toujours là. J’ai des tantes et oncles qui m’appelle souvent ou que je peux appeler si ça ne va pas. Mais j’aimerai parler à des personne qui sont dans mon cas, car je pense qu’elles comprendraient mieux ce que je vis.
Bonjour à toutes. Il y a tout juste une semaine, le 21 novembre 2016, j’ai appris que j’avais un cancer du sein. Un carcinome lobulaire infiltrant pour être exacte. Un cancer plus rare apparemment. J’ai passé une mammo presque par erreur et le radiologue a tout de suite détecté quelque chose. Aussitôt il m’a fait faire une échographie suite à quoi il m’a dit qu’on devait faire une biopsie. Elle a eu lieu 3 jours après et au bout de 8 jours j’ai reçu un appel de ma Gyneco tôt le matin. Elle m’attendait à son cabinet à 14h30 mais j’avais déjà compris. Lorsqu’elle m’a reçu j’ai senti qu’elle me mettait en condition pour me l’annoncer en douceur. Trop pour moi ! Alors je lui est demandé : j’ai un cancer ? Et elle m’a répondu que oui !!! Jeudi matin je passe une IRM pour voir s’il n’y a pas d’autres petites tumeurs. Puis c’est l’intervention pour retirer la tumeur et les ganglions sous l’aisselle droite. Ensuite, radio des poumons, échographie du foie et scintigraphie des os . Ensuite probablement un autre IRM du tronc. Puis radiothérapie et traitement hormonal car mon type de cancer ne réagit pas bien à la chimiothérapie. Tout cela si on ne découvre rien d’autre entre temps ?. Le Gynéco m’a dit que ma maladie de la thyroïde (un hashimoto) pouvait être à l’origine de mon cancer. Le plus dur pour moi c’est de faire de la peine à ma famille. Je les aime tant. Et tout était si parfait dans ma vie jusque là. Je suis de tout cœur avec vous toutes. Soyez courageuses . La vie est belle
Mon amie a un cancer du sein. Elle a un mari et deux enfants… mais je veux l’aider. Nous sommes loin, au deux coins de la France , comment puis-je un peu alléger ses souffrances et ses peurs… merci de votre réponse
Bonsoir myriam moi aussi on m’a annoncer que j’ai un cancer au sein gauche et jeudi je fais une ablation du sein et aprés seulement les séances de chimio j’ai trés peur
bonjour ,moi aussi j:ai un cancer Du sein droit .Donc opération partiel puis seance de radiothérapie 25.Jamais le mot cancer n’a été prononcé jusqu’au rendez vous chez oncologue ,j’ai peur les medecins me rassure mais je n’arrive pas a faire confiance .J’ai l’impression qu’il me cache quelque chose j’ai peur . Je vis seul avec ma fille de 17 ans ces pour elle que je tiens le coup je pleurs le soir dure de vivre ça ,j’ai le soutient de 2 de mes amis mes frères et soeurs habitent a 700 km de chez moi je me sens très seule depuis que mon compagnon depuis 13 ans ma laisser tomber aujourd’hui; il ne m a apporter aucun soutient .Je vais me battre vos temoignages mon donner de la force merci merci
bonsoir
j ai 50 ans j ai des problèmes a un sein il coule du sang je doit passer une mammographie et une echographie car j ai un nodule au sein droit
j ai tres peur d avoir un cancer l un de mes sein
Bsr j ai très peur car je dois passer une mammographie lundi car j ai le sein droit qui me fait très mal jé suis pas tranquille. J ai lu vos messages et je vous trouve très courage
Je vous trouve toute tres courageuses je vais passer une mammographie lundi j ai très peur car très mal à un sein
Bjr j’ai un cancer du sein canal aire infiltrant j’ai fait l’intervention le choix m’a été donné j’ai préféré l’ablation bientôt je vais faire ma première chimio et j’ai peur de ne pas résister je veux une réponse est ce qu’il y’a un régime a suivre
Bonjour suite à une mammographie de contrôle on m’a trouvé un nodule de 12 mam sur le sein gauche; je me fait opéré jeudi 16/11/17.apres biopsie il m’on dit que ct le début au stade 1. Si vs avez eu ce stade svp pouvez vous me dire comment sa c passer j’ai très très peur qu’on trouve autre chose durant l’opera-t-on. Merci bcp à celles qui prendront le tps de me répondre. Et courage à ns toutes
Bonjour,
Lors d’un contrôle on m’a décelé un cancer in situ du sein droit, 2 tumeurs je n’ai pas arrêté de bosser car j’ai un travail de bureau pas très fatiguant et je termine ma mission fin décembre, tout s’est bien passé, l’opération, la radiothérapie et maintenant prise de traitement, j’ai 56 ans et je vais de l’avant en pensant que j’ai eu bcp de chance mais au fond de moi je suis exténuée et je pleure souvent seule pour que les gens autour de moi pensent que je vais bien mais l’après est un peu difficile, parce qu’on se pose « la question »…. ca va revenir ? mais je ne peux pas me plaindre je n’ai eu aucune douleur. Le seul régime est de se reposer dès que l’on peut comme un sportif de haut niveau, c’est ce que m’a dit ma radiothérapeute, je vous souhaite un bon moral à toutes.
Amitiés
Brigitte
bonjour ilham
comment vas tu? j’ai lu ton commentaire et j’ai souhaité t’envoyer un message si ça ne te dérange pas. j’ai été opérée d’un cancer du sein stade 1 le 16 novembre et là je suis à la radiothérapie. mais le stress est toujours là . peux tu me dire comment tu vas depuis le tps. merci
Bonsoir, moi aussi j’ai eu un cancer du sein carcinome infiltrant stade2 nodul 8mm, mes enfants sont petit 3 et 2 ans, j suis tres inquiète je suis au debut du combat. Je mevss fait opere il y a 3 semaines vendredi j aurai les resultats. J espere que le traitement ne sera pas tres long.
Bonjour ou en este vous dans votre traitement.j’espère que vous aller bien
j ai 50 ans quand j enleve mon soutien gorge j ai des petites taches sur mon soutien gorge j ai peur que sa sois un écoulement au sein droit
au mois aout 2017 j ai u un irm mammaire des deux seins ras
j ai peur d avoir un cancer du sein
Bonjour Cathy, Ne paniquez pas car il y a de multiples causes qui peuvent être à l’origine de l’écoulement du mamelon si c’est le cas.
Vous pouvez lire les informations suivantes en suivant ce lien : http://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Les-cancers/Cancer-du-sein/Les-maladies-du-sein/Ecoulement-du-mamelon
Et nous vous recommandons de consulter votre médecin qui pourra vous rassurer et faire les investigations nécessaires.
Bonsoir,
J’ai 22ans, j’ai eut également la même chose que vous sur mon seins gauche. Je m’en suis aperçu sur mes soutif j’avais des taches de sang. Je n’ai toujours pas consulté car je suis a l’étranger. Comment allez vous ? Vous avez consultez ?
Bonjour Laura, nous vous remercions pour votre contribution sur Chaîne Rose.
Même si vous êtes à l’étranger, nous vous recommandons de consulter un médecin, ne serait ce que pour vous rassurer. Bonne semaine à vous.
L’équipe Chaîne Rose
bonjour , moi j ai 51 ans j ai fait une mammographie qui n a rien trouver Laura il faut aller voire votre médecin
Bonjour à toutes ces jolies femmes,
vos messages sont si réconfortants et angoissants à la fois ! En tout cas vous êtes toutes courageuses.
J’ai peur moi aussi : il y a une semaine j’ai senti une grosseur au sein, pas douloureuse mais sensible parfois, et mon médecin a remarqué un ganglion enflé sous le bras. Je passe bientôt une mammographie et échographie !
Pensez-vous que c’est un cancer ou cela peut être autre chose ? Mais quoi alors ? Avez vous vécu et ressenti les mêmes symptômes ? Je m’adresse à toutes ces femmes qui vivent la douleur d’être femme ! Merci de tout cœur pour votre réponse. Soyez courageuses ?
Bonjour, j’ai 52 ans. Je viens d’apprendre que j’ai un cancer du sein. Il a été détecté lors d’un contrôle de mammographie. S’en est suivi une biopsie qui a confirmé les doutes du docteur. Je dois être opérée d’ici quelques jours. Je me pose toutes sortes de questions concernant mon quotidien : ménage, m’occuper de mon chat, les courses etc. Je vis seule. Qu’est ce qui va changer dans ma vie ? On m’a dit que le bras où le chirurgien enlève les ganglions va gonfler, pourquoi et comment gérer ça ? Merci beaucoup pour vos réponses.
Bonjour Linn,
Comment allez-vous ? Comment s’est passé votre opération ?
Je suis étonnée que vous n’ayez pas eu de réponses à vos questions, ne serait-ce qu’auprès des médecins. J’espère que depuis vous les avez eu. Je vous invite à lire mon témoignage que je viens de publier. J’espère que vous avez eu au moins une personne pour vous aider les premiers jours pour les tâches du quotidien et un soutient psychologique. Concernant les ganglions… je ne sais pas si ça dépend des pratiques de chaque clinique ou hôpital, pour ma part, la clinique qui m’a prise en charge me disait qu’ils enlevaient tout il y a quelques années, maintenant, dans un premier temps, ils enlèvent que le ou les premiers ganglions en relation directe avec le cancer qui seront analysés et s’ils sont sains, on ne touche pas au reste de la chaîne ganglionnaire mais dans le cas contraire, il est nécessaire de se refaire ré-opérer pour l’enlever. L’inconvénient, c’est que du coup il n’y aura plus de barrière immunitaire au niveau du bras où vous êtes opérée. C’est à dire que si vous vous blessez en jardinant, en cuisinant, en cousant, etc… il y a de grande chance que la plaie s’infecte et fasse gonfler tout ou partiellement le bras. Je connais une personne qui fait suivre partout son désinfectant et un traitement antibiotique. Vous pourrez continuer à faire votre vie habituelle, faudra juste être plus vigilante en cas de piqûre ou de coupure, prévoir des gants par exemple. Prenez bien soin de vous et courage.
Bonjour, j’ai 22 ans et depuis quelques jours je suis énormément tracassée…
J’ai mon sein gauche qui a doublé voire triplé de volume en largeur et hauteur mais pas forcément en masse, il me fait de plus en plus mal, des fois je sens comme des pointes sur le côté extérieur.
J’ai des douleurs dans la nuque, les épaules et au niveau des trapèzes. Je ne sais pas s’il y a un rapport… ? On me dit d’aller consulter mais j’ai très peur de ce qu’on pourrait me dire…
J’ai regardé sur internet bien que des fois ce ne soit pas bon, mais j’ai vu des tas de choses, mais celles qui revenaient principalement est cancer du sein…
Auriez-vous vous mesdames des conseils à me donner… ? Cordialement
Ne tarde pas à aller consulter…
N’aies pas peur, c’est pour ton bien ! Courage !
quand j ai passer ma mammographie j ai oublier d enlever mon portable il était dans ma poche de pantalon pendant la mammographie
j ai peur que sa fausse mes résultats de la mammographie
Bjr à tous voilà moi depuis samedi mon sein droit à tripler volume je suis aller voir mon toubib ce matin elle m’a fai faire une mammographie et une échographie qui sera fai le 28decembre et jai les sein très tres douloureux je minkiete un peu jai peur de ce que lon va m’annoncer mai la depuis tt à leur jarrete pas de vomir cela minkiete de plus en plus
voila opéré carcinome infiltrant peut agressif mais comme j’en avais 2 ont m’a enlevé le sein j’ai pas fait de chimio ni radiothèrapie , mais ils refont un deuxieme examens spècialisé car retrouvé un autre de 1millimètre j’attend mais la chimio je n’en veux pas
Bonjour, après une mammographie de contrôle, on m’a découvert un nodule de 1 cm. On m’a fait une biopsie. Mon médecin a reçu les résultats. Il m’a téléphoner en me disant que j’ai un petit cancer, que ses patientes qui l’on eu on toute guérie. Mais qu’il fallait faire des examens complémentaires, car sa peut aller de la simple opération à la chimiothérapie. J’ai oublié de lui demander s’il arrivait à voir à quel stade de la maladie j’étais avec les résultats de la biopsie. Peut être pourriez vous me répondre. Merci. Nadia
Bonjour j ai 32 ans maman de 4 enfants douleur aux seins droit depuis 15 jour vu le médecin grosseur seins droit ou j ai mal mais aussi seins gauche la J attend la mammo et eco apparament que je vais passer le 7 octobre je me pose bcp de question juste horrible de pas s avoir l attente en même temps j ai peur du résultat je reviendrai pour vous dire
Bonjour je suis maman de 5enfants ma dernière va avoir 6ans je viens d’avoir 37a et on viens de m’apprendre se cancer j’est très peur pour mes enfants mon mari je suis quelqu’un qui angoisse et stresse énormément.
Je pleur beaucoup. J’es peur de la suite de ne pas réussir a surmonté je c’est que ma famille et amis seront près de nous. Je ne c’est pas comment dire a mes enfants que je suis malade c’est affreux cette sensation.
Bonjour,
Je vous souhaite bcp de courage surtout que le stress n’aide pas. Je suis une anxieuse aussi.
Vous avez fait des examens complémentaires?
Chère amie ne t inquiète pas sa se soigne le cancer du sein
si tu veux me contacter te soulager 0634664510 courage je te fais savoir que je vais m opérer pour la 2eme fois.et la vie contine
Bonsoir j’ai 30 ans et j’ai une douleur persistante au sein droit et j’ai très peur avez vous eu des douleur ???
Bonjour Mélissa,
Nous vous recommandons de consulter votre médecin afin qu’il vous donne son avis.
Bien chaleureusement,
L’équipe Chaîne rose
Bjr depuis 2018 mon sein droite me faisait mal je suis aller voir un professeur cancérologie il ma demander de faire les examens échographie et la mammographie cest sortie négatif
Et il ma donné une pommade pour me soulager
Mais malheureusement jusqu’à ce jour j’ai toujours tres mal a mon sein droite et parfois ça prend le haut du dos
Que faire
Madeleine
Bonjour Madeleine,
Nous vous remercions pour votre message.
Nous comprenons votre stress et vous encourageons à consulter votre médecin traitant qui vous apportera son avis et ses conseils.
Courage à vous et prenez bien soin de vous,
L’équipe Chaîne Rose
Bonjour
‘Je me lance..J ai 56 ans
Depuis juin je me suis aperçu que mon teton au sein droit s’est rétracté..Les vacances sont terminees.. j ai donc prit la décision de faire un dépistage du cancer du sein sans avoir. consulté mon médecin.rdv prit pour le dépistage le 10 octobre.
Petite parenthèse le medecin actuel je l ai prit par dépit car tres difficile de trouver un médecin qui prend encore des patients.
J ai la chance d avoir ma fille qui est médecin a Marseille mais malheureusement 800km nous sépare.
Je lui ai donc demander de me faire une ordonnance pour une mammographie et elle m a rajouté une échographie
Mais je ne pouvais pas attendre le 10 octobre..et donc j ai recherché un cabinet de radiologie qui puisse me prendre rapidement Et donc j ai mon rdv le 25 octobre.
L angoisse est présente tout les jours..
voila j avais le besoin d’en parler
Bonsoir les filles j’ai 43 ans aussi cancer du sein droit. opération au moi d’avril 35 séance de radiothérapie et la depuis le 3 août traitement thérapeutique pendant 5ans et suivi tout les 6 mois rendez vous janvier 2021
Bonjour
J’ai 36 ans et ca me fait mal sous l’aisselle droite . J’avoue que je n’ai pas été depuis des années chez la gynéco car j’ai eu pas mal de probleme perso (chomage, etc.) et je ne vis pas en couple donc je me dis que j’ai moins de risque d’avoir un probleme grave ? mais ma mere et 2 tantes ont eu un cancer du sein donc j’ai un peu peur. Comment peut on savoir si c’est grave ou pas ? est ce que la gyneco ne va pas se moquer de moi ? merci.
Bonjour Bea,
Une douleur n’est jamais anodine, nous vous recommandons vivement de consulter votre gynecologue dont c’est le métier de vérifier que tout va bien, n’ayez donc aucune crainte de jugement et prenez bien soin de vous.
Bonjour je suis suivie depuis 10 ans pour des adenofibromes en septembre 2021 mon adenofibrome avait un peu grossit on m’a dit de revenir dans 4 mois janvier 2022 de nouveau un peu dégrossi du coup j’ai eu droit à une biopsie qui ses avère bonne c’était bien un adenofbtome avec hyperplasie canalaire simple.la donc 3 mois j’ai ce même sein qui a dés écoulements quand j’appuie dessus (je précise que j’ai toujours eu des écoulements sous pression des deux seins )le seul souci c’est qu’à gauche le liquide Eats tjr jaune clair et mon sein que j’ai biopsie le liquide sort jaune orange donc je suis très inquiète si quelqu un a vécu la même chose et a su ce que c’était je vous remercie d’avance j’ai 32 ans au passage
Bonjour , j’ai des petites douleurs dans les deux seins comme des bleus mais je suis pas bleus mais la douleur c’est comme des bleus sur les deux seins j’avais sa il y a deux semaines sa a durer longtemps et là c’est revenu j’ai peur